"-A qui faites-vous allégeance?
-Au plus offrant.
-Je possède un navire!
-Ce qui fait de vous le plus offrant."

"C'est le voyage qui compte, pas la destination !"

" J’organise une magnifique réception et vous n’êtes pas invités. "

"- Qu’est ce que tu fais ?
- Non, toi, qu’est ce que tu fais ?
- C’est le capitaine qui donne les ordres !
- Et c’est ce qu’il vient de faire !
- Mais ! C’est mon Navire ! Et c’est mes cartes !
- Ce qui fait de toi... l’homme aux cartes !"

"Personne ne bouge, j’ai perdu ma cervelle !"

"Pourquoi je voudrais naviguer avec vous ? Vous êtes quatre à avoir essayé de me tuer, l’un de vous a réussi !"

"Tu ne remarques rien ? Ou plutôt ne remarques-tu pas l’absence de ce que tu devrais remarquer ?"

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"- Le moment viendra où vous pourrez enfin agir avec honneur.
- Je les adore ces moments... Je les salue de la main quand je les vois passer."

"- Vous disiez la vérité !
- Ça m’arrive très souvent. Je comprends pas pourquoi ça vous étonne."

"Jack : - Les amis ! À quoi servent les clés au juste ?
Gibbs : - Les clés déverrouillent... des trucs ?
Un matelot : - Et quoi que cette clé déverrouille, à l’intérieur il y a sûrement un objet de valeur, alors on va chercher à savoir ce que cette clé déverrouille ?!
Jack : - Non. Parce que sans la clé, on ne déverrouillera pas ce qu’on a à déverrouiller, alors à quoi servirait-il de trouver d’abord ce qu’il faut qu’on déverrouille, à supposer qu’on le trouve, avant même d’avoir trouvé la clé qui le déverrouille ?
Un matelot : - Alors... Il faut trouver la clé !
Jack : - Ce que tu dis n’a aucun sens."

"- Elisabeth ? 
[Jack se tourne vers Gibbs]
- Cache le Rhum."

"-Quel cruauté ! 
-C'est la vie qui est cruelle ! Pourquoi la mort serait-elle différente ?"

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"-Nous sommes tous des hommes d’honneur, tu vois. Exceptée Elizabeth qui est, en fait, une femme."

"- Vous êtes sans doute le pirate, le plus pitoyable dont on m’ait parlé.
- Au moins, on vous a parlé de moi."

"-Je peux vous libérez.
-Et comment? La clé est partie en courant."

"- Ce quai est strictement interdit aux civils !
- J’en savais rien, je vous demande pardon. Si j’en vois un, je vous en informerai immédiatement."

"- Soit c’est du génie, soit c’est de la folie.
- Ce qui est le plus marrant, c’est que le plus souvent, ces deux choses vont ensemble."

"- Merci du fond du cœur Jack !
- Oh, mais de rien !
- Pas toi, c’est le singe qu’on a appelé Jack !"

"- Est-ce que je rêve ?
- Non...
- J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum !"

« - Le Black Pearl ? Je connais sa légende. Il bombarde navires et campements depuis près de dix ans. ll laisse jamais de survivant.
- Pas de survivants ? Comment les légendes prendraient forme dans ce cas là ? »

"Tous les trésors ne sont pas d'argent et d'or..."

"Français ? J’adore la mayonnaise."

"Et à moins que vous ne portiez des voiles et un gouvernail sous votre jupon, ce qui m’étonnerait, le jeune William Turner sera déjà mort."

"Jack: Tu me sembles vaguement familier... t'aurais-je déjà menacé?"

"Une bonne décision prise pour de mauvaises raisons devient une mauvaise décision."

"-Comment peut-on trouver une île qu'on ne connait pas et un compas qui ne marche pas?
-Oui le compas n'indique pas le nord. Mais on cherche pas à trouver le nord pas vrai?!"

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"Les peuples ne devraient pas avoir peur de leurs gouvernements. Les gouvernements devraient avoir peur du peuple."

"- Qui êtes-vous ?
- Qui ? « Qui » n’est autre que la forme qui résulte de la fonction de « qu’est-ce-que », et ce que je suis c’est un homme sous un masque.
- Ça je vois...
- De toute évidence. Je ne mets pas en doute ton sens de l’observation, je ne fais que mettre en exergue le paradoxe qui est de demander à un homme masqué qui il est."

« C’est à madame justice que je dédie ce concerto, en l’honneur des vacances qu’elle semble avoir prises très loin d’ici et en reconnaissance de l’imposteur qui se dresse à sa place. »

"Même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est-ce pas ?"

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« Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu ne joues pas. J’suis perdue... Attends deux secondes, je n’ai pas fini... Dis-moi qu’tu m’aimes... Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te l’dire la première, j’aurais trop peur que tu crois qu’c’est un jeu... »

« - Tu crois au coup de foudre ?
- Ouais.
- Naïve. »

"- Qu'est-ce que tu feras quand tu seras grand ?
- Tyran !
- Ouah tyran ? Avec tout un peuple asservi ?
- Parfaitement ! Avec un Harem, des esclaves que je torturerai chaque jeudi matin.
- Cool !
- Et toi ?
- Ben, je... Non c'est idiot.
- Aller dis-le !
- Non ça va pas te plaire.
- Moi je te l'ai dit ! Raconte !
- J'aimerais être un flan. Un flan aux abricots ou nature tiens ! Un peu tiède dans une boulangerie en vitrine.
- Un flan ! Comme le gâteau ? 
- Ben évidement qu'est-ce que tu veux que ce soit d'autre ? Y'en a pas 46 000 des flans.
- Un flan... un flan ? Ah mais ouais un flan ! Mais ouais, mais c'est super génial."

"Les amis c’est comme les lunettes, ça donne l’air intelligent, mais ça se raye facilement et puis, ça fatigue. Heureusement, des fois on tombe sur des lunettes vraiment cool ! Moi, j’ai Sophie."

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